Louis de Bonald: differenze tra le versioni

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:''La religion est si naturelle à l'homme, que tous les efforts d'un gouvernement qui voudrait la détruire, n'aboutiraient qu'à la faire renaître, sous les formes de la superstition; et les peuples deviendraient crédules, en cessant d'être {{sic|croyans}}.''
:''Là où les lois n'ont été que la volonté des plus forts, toutes les volontés des hommes {{sic|puissans}} peuvent devenir des lois.'' (p. 407)
*Noi siamo cattivi per natura, buoni per la [[società]]. Così tutti quelli che, per costituire la società, hanno cominciato col supporre che nascessimo buoni, colpiti dai disordini che la società non impedisce, e dimenticando quelli che previene, hanno finito come [[Jean-Jacques Rousseau|Jean-Jacques Rousseau]] per credere che la società non fosse nella natura dell'uomo. Questi scrittori hanno fatto come architetti che per costruire un edificio supponessero che le pietre venissero già tutte scolpite dalla cava e i legni tutti squadrati dalla foresta.
:''Nous sommes mauvais par nature, bons pour la société. Aussi tout ceux qui, pour constituer la société, ont commencé par supposer que nous naissions bons , frappés des desordres que la société n'empêche pas, et oubliant tous ceux qu'elle prévient, on fini, comme Jean-Jacques par croire que la société n'était pas dans la nature de l'homme. Ces écrivains ont fait comme des architectes qui, pour bâtir un édifice, supposeraient que les pierres viennent toutes taillées de la carriere et les bois tout équarris de la forêt.'' (p. 449)
*Ci sono molti che non sanno perdere il loro tempo da soli: essi sono il flagello delle persone impegnate.